Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
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Turtle
LucaMenes
6 partecipanti
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Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
Notizia a dir poco ENTUSIASMANTE!!
Salvador Dali al Centre Pompidou di Parigi.
Dal 21 Novembre 2012 al 25 Marzo 2013, 150 pitture tra le opere del Museo Reina Sofia di Madrid, ma anche l’emblematico “Le montres Molles” conservato al MoMa di NY. Inoltre numerosi filmati, documenti sonori e scenografie spettacolari. Le guerre civili spagnoli, la Seconda Guerra Mondiale, l’Olocausto s’impongono nel processo delirante d’interpretazione dell’autore.
Ragazzi, se la mostra è davvero come si annuncia cercherò di NON PERDERLA!
Salvador Dali al Centre Pompidou di Parigi.
Dal 21 Novembre 2012 al 25 Marzo 2013, 150 pitture tra le opere del Museo Reina Sofia di Madrid, ma anche l’emblematico “Le montres Molles” conservato al MoMa di NY. Inoltre numerosi filmati, documenti sonori e scenografie spettacolari. Le guerre civili spagnoli, la Seconda Guerra Mondiale, l’Olocausto s’impongono nel processo delirante d’interpretazione dell’autore.
Ragazzi, se la mostra è davvero come si annuncia cercherò di NON PERDERLA!
LucaMenes- FONDATORE
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
Grazie Luca, che bellissima notizia!
Turtle- Amico
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
Ho trovato qualche dettaglio in più sulla mostra nel depliant del Pompidou:
Ragazzi, si preannuncia qualcosa di storico!
NOVEMBER 2012
DALÍ
GALERIE 1, LEVEL 6
Curator in chief : Jean-Hubert Martin
Through 150 paintings, among them masterpieces
from the Reina Sofia museum in Madrid and also
the legendary Soft Watches from MoMA in New York,
this spectacularly designed exhibition explores the work
and personality of Salvador Dalí, pioneer of the art
of attitude, offering too an opportunity to hear and see
a good many films and sound recordings. Dalí was one
of the great figures of the 1930s Surrealist movement;
his “paranoiac-critical method” led to the creation
of images many of which have become popular icons
of modernity, and to the development of a personal
mythology that took him beyond the limits of the
Surrealists’ collective outlook. The great catastrophes
of the 20th century (the Spanish Civil War, the Second
World War and the Holocaust) would be subject
to the artist’s process of delirious interpretation from
the 1950s onward.
Ragazzi, si preannuncia qualcosa di storico!
NOVEMBER 2012
DALÍ
GALERIE 1, LEVEL 6
Curator in chief : Jean-Hubert Martin
Through 150 paintings, among them masterpieces
from the Reina Sofia museum in Madrid and also
the legendary Soft Watches from MoMA in New York,
this spectacularly designed exhibition explores the work
and personality of Salvador Dalí, pioneer of the art
of attitude, offering too an opportunity to hear and see
a good many films and sound recordings. Dalí was one
of the great figures of the 1930s Surrealist movement;
his “paranoiac-critical method” led to the creation
of images many of which have become popular icons
of modernity, and to the development of a personal
mythology that took him beyond the limits of the
Surrealists’ collective outlook. The great catastrophes
of the 20th century (the Spanish Civil War, the Second
World War and the Holocaust) would be subject
to the artist’s process of delirious interpretation from
the 1950s onward.
LucaMenes- FONDATORE
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
Finalmente nel sito ufficiale del museo una pagina dedicata alla mostra:
http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Manifs.nsf/AllExpositions/299F86C214CD409FC1257A170044D7B6?OpenDocument&sessionM=2.1.3&L=1&form=Actualite
Dalí
21 novembre 2012 - 25 mars 2013
11h00 - 21h00
Galerie 1
13€, TR 10€ / 11€, TR 9€ selon période / Forfait donnant accès à toutes les expositions temporaires et aux collections permanentes du musée
Nocturnes tous les jeudis jusqu'à 23h
Fermeture des caisses à 22h
Le Centre Pompidou rend hommage à l'une des figures magistrales les plus complexes et prolifiques de l'art du 20e siècle, Salvador Dalí, plus de trente ans après la rétrospective que l'institution lui avait consacrée en 1979-1980. Souvent dénoncé pour son cabotinage, son goût de l'argent et ses prises de positions politiques provocatrices, Dalí est à la fois l'un des artistes les plus controversés et les plus populaires. C'est toute la force de son œuvre et toute la part qu'y tient sa personnalité, dans ses traits de génie comme dans ses outrances, que cette exposition sans précédent veut aussi éclairer.
Parmi les chefs-d'œuvre exposés, les visiteurs redécouvriront quelques-unes des plus grandes icônes, à l'exemple du plus célèbre tableau de l'artiste, La Persistance de la mémoire, plus communément appelé Les Montres molles. Ce prêt exceptionnel du MoMA rejoint un choix d'œuvres majeures réunies pour cette rétrospective grâce à une étroite collaboration nouée avec le Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, de Madrid, et la participation conjointe de la Fundació Dalí à Figueres et du Dalí Museum à Saint-Petersburg (Floride). Avec plus de deux cents peintures, sculptures, dessins, auxquels s'ajoutent des films, extraits d'émissions et photographies, c'est aussi l'œuvre du pionnier du « happening », auteur d'œuvres éphémères qui est aujourd'hui exposé. Michel Déon, qui avait traduit les écrits de Dalí, souhaitait qu'on juge l'artiste sur son œuvre. C'est toute l'ambition de cette exposition. Déon souhaitait qu'il abandonnât ses « clowneries » : l'exposition au contraire montre qu'elles étaient le fait d'un artiste « performeur » avisé, précurseur, et plein d'humour. Dalí aimait mêler l'art et la science, sa fameuse méthode paranoïaque-critique fondée sur le délire d'interprétation prétendait se saisir de tous les domaines de la création comme de la connaissance, afin de « daliniser » le monde. Ce grand manipulateur de média considérait l'art comme un fait global de communication. Sous toutes ses facettes, Dalí interrogeait la figure (persona) de l'artiste face à la tradition et au monde.
DALÍ SHOW,
PAR JEAN-HUBERT MARTIN: COMMISSAIRE GÉNÉRAL
La célébrité de Dalí est due tout autant à l'originalité de sa peinture qu'à sa présence régulière dans les médias relayant ses interventions spectaculaires. On pense communément que ces représentations d'un imaginaire débridé relèvent du domaine des rêves. Or Dalí s'en défend et insiste sur sa méthode paranoïa-critique qui va bien au-delà d'une hallucination.
« La paranoïa se sert du monde extérieur pour faire valoir l'idée obsédante, avec la troublante particularité de rendre valable la réalité de cette idée pour les autres. La réalité du monde extérieur sert comme illustration et preuve, et est mise au service de la réalité de notre esprit. » D'où le passage de la peinture comme médium aux actions, performances et happenings. On a souvent réduit les apparitions publiques et les œuvres éphémères de Dalí à des provocations. Elles en prennent certes la forme, mais elles sont toujours fondées sur
un propos et sur des idées qui, pour être surprenantes, n'en sont pas moins consistantes.
Ses apparitions médiatiques n'éludent aucune question, il suffit qu'on le traite de clown pour qu'il apparaisse déguisé en Auguste. Ses voyages aux États-Unis lui font saisir l'importance des médias et le parti qu'il peut tirer de la notoriété. L'apparition de la télévision est une aubaine et il ne rate aucune occasion de participer à un talkshow, au risque d'être parfois désarçonné par la langue et les règles du jeu, qu'il sait en revanche toujours transcender à son profit. Loin de lui l'idée d'une conception puriste d'un art indépendant à l'écart du commerce, de l'argent et du spectacle. Warhol qui dîne souvent avec lui à New York saura en tirer les leçons. Pour une génération entière, le film publicitaire pour le chocolat Lanvin l'a rendu aussi célèbre que sa peinture. Ses moustaches sont l'objet de commentaires inépuisables. Après avoir fait une peinture gestuelle de quelques coups de pinceau pour critiquer ce type de peinture à la télévision, il reprend cet exercice de virtuosité pour en faire une spécialité. Comme sa vie n'est qu'un théâtre, il s'entoure de femmes plus ou moins dénudées et de figurants auxquels il assigne des rôles et des postures dans des mises en scène de son invention. Les tableaux vivants impliquent souvent la présence d'animaux dont il s'entoure, tel que le célèbre ocelot (aux dents limées) ou le tamanoir qu'il tient en laisse en sortant du métro. Dans les années 1950 et 1960, beaucoup d'artistes participent à ses performances, qui laissent parfois place au happening, comme à Granollers où des dizaines de jeunes s'aspergent de peinture devant un grand mur.
Ces multiples activités médiatiques et la constante création d'événements où Dalí apparaît comme acteur principal - « Arteur » - font de lui le pionnier de l'art de la performance.
SCIENCES DURES ET MONTRES MOLLES
PAR THIERRY DUFRÊNE: PROFESSEUR D'HISTOIRE DE L'ART CONTEMPORAIN (PARIS OUEST, NANTERRE LA DÉFENSE / INHA)
À propos des « montres molles » (La Persistance de la mémoire), les archives du MoMA de New York contiennent quelques pépites. Dalí lui-même ne parvenait pas à en épuiser la signification. Dans des « notes sur l'interprétation du tableau » écrites en 1931, il l'associe à deux types de savoirs très différents : « Morphologie – Gestaltla Residencia de los Estudiantes au début des années 1920, se marque également dans ses « notes » : « La Persistance de la mémoire doit être localisée à la période de formation du sur-moi de Dalí, très difficile encore de (sic) préciser chronologiquement » ! Si les « montres molles » proposent une image convaincante pour l'un des concepts les plus compliqués de la science du 20e siècle : celui du continuum « espace- temps » selon Einstein, Dalí leur confère assez vite un statut d'objet-concept qui, théorie – mystère des onduloïdes – lignes géodésiques », bref les sciences dures d'une part, « Psychoanalysis », le freudisme et la psychologie des profondeurs d'autre part. Sa bibliothèque, conservée au Centre d'études daliniennes à Figueres, est riche en ouvrages scientifiques. Ainsi Dalí possédait- il l'édition originale des Principes de morphologie générale (1927) d'Édouard Monod-Herzen, un spécialiste des colloïdes. Mais la lecture précoce que Dalí fit des ouvrages de Freud, dès l'époque où il était à au-delà d'être sa propre marque de fabrique, symbolise à lui tout seul la science moderne. En effet, si dès 1934, dans une lettre au poète Paul Eluard où il parle de « surréalisme imprégné de physique » et dans son texte « Le mystère surréaliste et phénoménal de la table de nuit », Dalí avait fait référence à Einstein, en 1967, il confie à Louis Pauwels, auteur des Passions selon Dalí : « J'avais dit à Watson, au cours d'un déjeuner à New York : Mon tableau, La Persistance de la mémoire, peint en 1931, est une prévision de l'ADN » : même structure fluide, souple et répétitive. Crick et Watson sont les découvreurs de l'hélice ADN, code génétique de l'hérédité : Dalí avait souhaité faire un livre avec eux. Il était persuadé que cet « escalier des structures de l'hérédité » n'était rien d'autre qu'une « échelle royale » et que « rien (n'était) plus monarchique qu'une molécule ADN » ! Le tableau Galacidallahcideésoxyribonucléique (1963) l'utilisait comme structure de base. Quant à la structure atomique de la matière, l'inventeur de la « mystique nucléaire » en avait eu l'intuition en observant un « vol de mouches » au Boulou, non loin de la gare de Perpignan ! Dalí était intrigué par la manière dont elles maintenaient sans se toucher leur configuration d'ensemble tout en se déplaçant : « Je dessinai mentalement une figure dont je devais apprendre plus tard qu'elle était le schéma de l'atome conçu par Niels Bohr » ! Eût-on écouté Dalí que l'on aurait, sans hésiter une seconde, installé le siège du « Centre national de la recherche scientifique » (CNRS) à la gare de Perpignan. Non seulement sa verrière est pour l'artiste le « modèle de l'univers », mais elle révèle à qui veut bien voir que l'« univers est limité, mais d'un seul côté » : « Tout ce qui vient de l'infini peut faire une boucle et arriver en gare de Perpignan. Je collaborais avec Einstein ».
MISTER DALÍ
PAR JEAN-MICHEL BOUHOURS: CONSERVATEUR, MUSÉE NATIONAL D'ART MODERNE
Quand en 1941, Dalí écrit La Vie secrète, il décrit ses années de jeunesse où, retranché dans la buanderie sous les combles de la maison familiale, il signe déjà une posture qu'il ne quittera plus. Se placer au-dessus de la mêlée, sur un perchoir, pour ne plus être intimidé par les jeunes filles qui croisées dans la rue « lui faisaient honte ». Ce sentiment de supériorité qui cachait une timidité sans bornes, privait Dalí des plaisirs de la vie quotidienne : « Moi Salvador je devais demeurer dans mon baquet, avec les chimères informes et aigries qui entouraient ma rébarbative personnalité. » (p 87, La Vie secrète)
Dalí cherche à capter l'attention de ses professeurs à l'Académie San Fernando de Madrid, en activant ses penchants exhibitionnistes : « Puisque eux ne pouvaient rien m'apprendre, je pensais que moi, j'allais leur expliquer ce qu'est une personnalité ». Il la construit comme un atout extraordinairement précieux : « Je ne voudrais pour rien au monde échanger ma personnalité avec celle d'un de mes contemporains. » (p 174, La Vie secrète). Pour autant, quand Gala rencontre Dalí à l'été 1930, elle le trouve antipathique dans les premiers instants, principalement à cause de cette construction d'une persona quelque peu folklorique, sous l'allure d'un danseur de tango aux cheveux gominés.
Dalí dansait le charleston ; une autre photographie découpée et collée dans une lettre adressée à son ami Federico Garcia Lorca le montre désarticulé comme un pantin agitant bras et jambes, la cravate volant au vent. Trente ans plus tard, en 1958 exactement, Pierre Argillet, le photographe et éditeur, ami des surréalistes, filmera Dalí dansant le charleston dans leur jardin. Quelques mois plus tard, l'artiste racontera au journaliste américain Mike Wallace que ses amis, surpris par ses qualités de danseur, l'avaient comparé avantageusement à Charlie Chaplin. Dalí renchérit pour préciser que Chaplin n'étant pas un peintre de génie, il était inévitablement plus important que Chaplin. Cette attitude enfantine éclaire toute la stratégie de Dalí : être célèbre non pas comme peintre, avec comme figure obsédante et dominante Pablo Picasso, mais plus encore : comme un « sur-peintre ». Pourquoi ne pas être peintre et acteur, comme Buster Keaton que lui et ses compagnons de la Residencia de estudiantes à Madrid voyaient comme un acteur et un poète. Dalí apporte au journaliste la précision parfaitement éclairante : « Plus important que ma peinture, plus important que mes clowneries, plus important que mes show manias, c'est MA PERSONNALITÉ. »
Et pour se fonder une identité, il faut inventer des « trucs » comme il l'écrira lui-même dans La Vie secrète. Cela passe par créer une image de soi, se construire un portrait pour s'assurer une présence et « s'y inventer soi-même » écrira le philosophe Jean- Luc Nancy (Le Regard du portrait. Paris, 2000, Galilée, p 31). L'Autoportrait au cou raphaëlesque, peint vers 1921, est vraisemblablement une des toutes premières manifestations ou mascarades de Dalí qui cherche avec ce portrait, le mimétisme, une ressemblance capable de déclencher un mécanisme associatif de type paranoïaque : « J'aimais adopter la pose et le regard mélancolique de Raphaël dans son autoportrait. J'attendis avec impatience l'apparition du premier duvet que je pourrais raser, en laissant toutefois pousser des favoris. Il me fallait faire un chef-d'œuvre de ma tête, me composer un visage. » (ibidem, p. 40). La question de la ressemblance réactive celle de la gémellité et du double narcissique chez Dalí, et en particulier le couple de « Castor et Pollux » qu'il forme avec son demi-frère mort, puis avec Galutschka, Federico Garcia Lorca et enfin avec Gala. Le principe de ressemblance de deux sujets comme plus tard de deux formes est le facteur déclenchant d'un phénomène délirant. Chez Dalí, comparaison n'est pas raison mais délire raisonnant. La particularité morphologique inventée avec L'Autoportrait au cou raphaëlesque, repose sur l'exhibitionnisme d'un cou phallique, premier phénomène du thème de la tête phallique, avant les harpes crâniennes des années 1930 qui figureront avec force sa terreur de l'acte sexuel et de la pénétration.
Dalí initie ainsi l'exhibition narcissique de son génie. Par autosuggestion, superstition ou simplement bravade, le délire dalinien opère volontiers par emprunt d'identité ; lorsqu'il sera au faîte de sa célébrité, Salvador Dalí empruntera de multiples personnalités, et en particulier celle du peintre espagnol Velázquez dont la ressemblance se construira avec sa célèbre moustache.
http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Manifs.nsf/AllExpositions/299F86C214CD409FC1257A170044D7B6?OpenDocument&sessionM=2.1.3&L=1&form=Actualite
Dalí
21 novembre 2012 - 25 mars 2013
11h00 - 21h00
Galerie 1
13€, TR 10€ / 11€, TR 9€ selon période / Forfait donnant accès à toutes les expositions temporaires et aux collections permanentes du musée
Nocturnes tous les jeudis jusqu'à 23h
Fermeture des caisses à 22h
Le Centre Pompidou rend hommage à l'une des figures magistrales les plus complexes et prolifiques de l'art du 20e siècle, Salvador Dalí, plus de trente ans après la rétrospective que l'institution lui avait consacrée en 1979-1980. Souvent dénoncé pour son cabotinage, son goût de l'argent et ses prises de positions politiques provocatrices, Dalí est à la fois l'un des artistes les plus controversés et les plus populaires. C'est toute la force de son œuvre et toute la part qu'y tient sa personnalité, dans ses traits de génie comme dans ses outrances, que cette exposition sans précédent veut aussi éclairer.
Parmi les chefs-d'œuvre exposés, les visiteurs redécouvriront quelques-unes des plus grandes icônes, à l'exemple du plus célèbre tableau de l'artiste, La Persistance de la mémoire, plus communément appelé Les Montres molles. Ce prêt exceptionnel du MoMA rejoint un choix d'œuvres majeures réunies pour cette rétrospective grâce à une étroite collaboration nouée avec le Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, de Madrid, et la participation conjointe de la Fundació Dalí à Figueres et du Dalí Museum à Saint-Petersburg (Floride). Avec plus de deux cents peintures, sculptures, dessins, auxquels s'ajoutent des films, extraits d'émissions et photographies, c'est aussi l'œuvre du pionnier du « happening », auteur d'œuvres éphémères qui est aujourd'hui exposé. Michel Déon, qui avait traduit les écrits de Dalí, souhaitait qu'on juge l'artiste sur son œuvre. C'est toute l'ambition de cette exposition. Déon souhaitait qu'il abandonnât ses « clowneries » : l'exposition au contraire montre qu'elles étaient le fait d'un artiste « performeur » avisé, précurseur, et plein d'humour. Dalí aimait mêler l'art et la science, sa fameuse méthode paranoïaque-critique fondée sur le délire d'interprétation prétendait se saisir de tous les domaines de la création comme de la connaissance, afin de « daliniser » le monde. Ce grand manipulateur de média considérait l'art comme un fait global de communication. Sous toutes ses facettes, Dalí interrogeait la figure (persona) de l'artiste face à la tradition et au monde.
DALÍ SHOW,
PAR JEAN-HUBERT MARTIN: COMMISSAIRE GÉNÉRAL
La célébrité de Dalí est due tout autant à l'originalité de sa peinture qu'à sa présence régulière dans les médias relayant ses interventions spectaculaires. On pense communément que ces représentations d'un imaginaire débridé relèvent du domaine des rêves. Or Dalí s'en défend et insiste sur sa méthode paranoïa-critique qui va bien au-delà d'une hallucination.
« La paranoïa se sert du monde extérieur pour faire valoir l'idée obsédante, avec la troublante particularité de rendre valable la réalité de cette idée pour les autres. La réalité du monde extérieur sert comme illustration et preuve, et est mise au service de la réalité de notre esprit. » D'où le passage de la peinture comme médium aux actions, performances et happenings. On a souvent réduit les apparitions publiques et les œuvres éphémères de Dalí à des provocations. Elles en prennent certes la forme, mais elles sont toujours fondées sur
un propos et sur des idées qui, pour être surprenantes, n'en sont pas moins consistantes.
Ses apparitions médiatiques n'éludent aucune question, il suffit qu'on le traite de clown pour qu'il apparaisse déguisé en Auguste. Ses voyages aux États-Unis lui font saisir l'importance des médias et le parti qu'il peut tirer de la notoriété. L'apparition de la télévision est une aubaine et il ne rate aucune occasion de participer à un talkshow, au risque d'être parfois désarçonné par la langue et les règles du jeu, qu'il sait en revanche toujours transcender à son profit. Loin de lui l'idée d'une conception puriste d'un art indépendant à l'écart du commerce, de l'argent et du spectacle. Warhol qui dîne souvent avec lui à New York saura en tirer les leçons. Pour une génération entière, le film publicitaire pour le chocolat Lanvin l'a rendu aussi célèbre que sa peinture. Ses moustaches sont l'objet de commentaires inépuisables. Après avoir fait une peinture gestuelle de quelques coups de pinceau pour critiquer ce type de peinture à la télévision, il reprend cet exercice de virtuosité pour en faire une spécialité. Comme sa vie n'est qu'un théâtre, il s'entoure de femmes plus ou moins dénudées et de figurants auxquels il assigne des rôles et des postures dans des mises en scène de son invention. Les tableaux vivants impliquent souvent la présence d'animaux dont il s'entoure, tel que le célèbre ocelot (aux dents limées) ou le tamanoir qu'il tient en laisse en sortant du métro. Dans les années 1950 et 1960, beaucoup d'artistes participent à ses performances, qui laissent parfois place au happening, comme à Granollers où des dizaines de jeunes s'aspergent de peinture devant un grand mur.
Ces multiples activités médiatiques et la constante création d'événements où Dalí apparaît comme acteur principal - « Arteur » - font de lui le pionnier de l'art de la performance.
SCIENCES DURES ET MONTRES MOLLES
PAR THIERRY DUFRÊNE: PROFESSEUR D'HISTOIRE DE L'ART CONTEMPORAIN (PARIS OUEST, NANTERRE LA DÉFENSE / INHA)
À propos des « montres molles » (La Persistance de la mémoire), les archives du MoMA de New York contiennent quelques pépites. Dalí lui-même ne parvenait pas à en épuiser la signification. Dans des « notes sur l'interprétation du tableau » écrites en 1931, il l'associe à deux types de savoirs très différents : « Morphologie – Gestaltla Residencia de los Estudiantes au début des années 1920, se marque également dans ses « notes » : « La Persistance de la mémoire doit être localisée à la période de formation du sur-moi de Dalí, très difficile encore de (sic) préciser chronologiquement » ! Si les « montres molles » proposent une image convaincante pour l'un des concepts les plus compliqués de la science du 20e siècle : celui du continuum « espace- temps » selon Einstein, Dalí leur confère assez vite un statut d'objet-concept qui, théorie – mystère des onduloïdes – lignes géodésiques », bref les sciences dures d'une part, « Psychoanalysis », le freudisme et la psychologie des profondeurs d'autre part. Sa bibliothèque, conservée au Centre d'études daliniennes à Figueres, est riche en ouvrages scientifiques. Ainsi Dalí possédait- il l'édition originale des Principes de morphologie générale (1927) d'Édouard Monod-Herzen, un spécialiste des colloïdes. Mais la lecture précoce que Dalí fit des ouvrages de Freud, dès l'époque où il était à au-delà d'être sa propre marque de fabrique, symbolise à lui tout seul la science moderne. En effet, si dès 1934, dans une lettre au poète Paul Eluard où il parle de « surréalisme imprégné de physique » et dans son texte « Le mystère surréaliste et phénoménal de la table de nuit », Dalí avait fait référence à Einstein, en 1967, il confie à Louis Pauwels, auteur des Passions selon Dalí : « J'avais dit à Watson, au cours d'un déjeuner à New York : Mon tableau, La Persistance de la mémoire, peint en 1931, est une prévision de l'ADN » : même structure fluide, souple et répétitive. Crick et Watson sont les découvreurs de l'hélice ADN, code génétique de l'hérédité : Dalí avait souhaité faire un livre avec eux. Il était persuadé que cet « escalier des structures de l'hérédité » n'était rien d'autre qu'une « échelle royale » et que « rien (n'était) plus monarchique qu'une molécule ADN » ! Le tableau Galacidallahcideésoxyribonucléique (1963) l'utilisait comme structure de base. Quant à la structure atomique de la matière, l'inventeur de la « mystique nucléaire » en avait eu l'intuition en observant un « vol de mouches » au Boulou, non loin de la gare de Perpignan ! Dalí était intrigué par la manière dont elles maintenaient sans se toucher leur configuration d'ensemble tout en se déplaçant : « Je dessinai mentalement une figure dont je devais apprendre plus tard qu'elle était le schéma de l'atome conçu par Niels Bohr » ! Eût-on écouté Dalí que l'on aurait, sans hésiter une seconde, installé le siège du « Centre national de la recherche scientifique » (CNRS) à la gare de Perpignan. Non seulement sa verrière est pour l'artiste le « modèle de l'univers », mais elle révèle à qui veut bien voir que l'« univers est limité, mais d'un seul côté » : « Tout ce qui vient de l'infini peut faire une boucle et arriver en gare de Perpignan. Je collaborais avec Einstein ».
MISTER DALÍ
PAR JEAN-MICHEL BOUHOURS: CONSERVATEUR, MUSÉE NATIONAL D'ART MODERNE
Quand en 1941, Dalí écrit La Vie secrète, il décrit ses années de jeunesse où, retranché dans la buanderie sous les combles de la maison familiale, il signe déjà une posture qu'il ne quittera plus. Se placer au-dessus de la mêlée, sur un perchoir, pour ne plus être intimidé par les jeunes filles qui croisées dans la rue « lui faisaient honte ». Ce sentiment de supériorité qui cachait une timidité sans bornes, privait Dalí des plaisirs de la vie quotidienne : « Moi Salvador je devais demeurer dans mon baquet, avec les chimères informes et aigries qui entouraient ma rébarbative personnalité. » (p 87, La Vie secrète)
Dalí cherche à capter l'attention de ses professeurs à l'Académie San Fernando de Madrid, en activant ses penchants exhibitionnistes : « Puisque eux ne pouvaient rien m'apprendre, je pensais que moi, j'allais leur expliquer ce qu'est une personnalité ». Il la construit comme un atout extraordinairement précieux : « Je ne voudrais pour rien au monde échanger ma personnalité avec celle d'un de mes contemporains. » (p 174, La Vie secrète). Pour autant, quand Gala rencontre Dalí à l'été 1930, elle le trouve antipathique dans les premiers instants, principalement à cause de cette construction d'une persona quelque peu folklorique, sous l'allure d'un danseur de tango aux cheveux gominés.
Dalí dansait le charleston ; une autre photographie découpée et collée dans une lettre adressée à son ami Federico Garcia Lorca le montre désarticulé comme un pantin agitant bras et jambes, la cravate volant au vent. Trente ans plus tard, en 1958 exactement, Pierre Argillet, le photographe et éditeur, ami des surréalistes, filmera Dalí dansant le charleston dans leur jardin. Quelques mois plus tard, l'artiste racontera au journaliste américain Mike Wallace que ses amis, surpris par ses qualités de danseur, l'avaient comparé avantageusement à Charlie Chaplin. Dalí renchérit pour préciser que Chaplin n'étant pas un peintre de génie, il était inévitablement plus important que Chaplin. Cette attitude enfantine éclaire toute la stratégie de Dalí : être célèbre non pas comme peintre, avec comme figure obsédante et dominante Pablo Picasso, mais plus encore : comme un « sur-peintre ». Pourquoi ne pas être peintre et acteur, comme Buster Keaton que lui et ses compagnons de la Residencia de estudiantes à Madrid voyaient comme un acteur et un poète. Dalí apporte au journaliste la précision parfaitement éclairante : « Plus important que ma peinture, plus important que mes clowneries, plus important que mes show manias, c'est MA PERSONNALITÉ. »
Et pour se fonder une identité, il faut inventer des « trucs » comme il l'écrira lui-même dans La Vie secrète. Cela passe par créer une image de soi, se construire un portrait pour s'assurer une présence et « s'y inventer soi-même » écrira le philosophe Jean- Luc Nancy (Le Regard du portrait. Paris, 2000, Galilée, p 31). L'Autoportrait au cou raphaëlesque, peint vers 1921, est vraisemblablement une des toutes premières manifestations ou mascarades de Dalí qui cherche avec ce portrait, le mimétisme, une ressemblance capable de déclencher un mécanisme associatif de type paranoïaque : « J'aimais adopter la pose et le regard mélancolique de Raphaël dans son autoportrait. J'attendis avec impatience l'apparition du premier duvet que je pourrais raser, en laissant toutefois pousser des favoris. Il me fallait faire un chef-d'œuvre de ma tête, me composer un visage. » (ibidem, p. 40). La question de la ressemblance réactive celle de la gémellité et du double narcissique chez Dalí, et en particulier le couple de « Castor et Pollux » qu'il forme avec son demi-frère mort, puis avec Galutschka, Federico Garcia Lorca et enfin avec Gala. Le principe de ressemblance de deux sujets comme plus tard de deux formes est le facteur déclenchant d'un phénomène délirant. Chez Dalí, comparaison n'est pas raison mais délire raisonnant. La particularité morphologique inventée avec L'Autoportrait au cou raphaëlesque, repose sur l'exhibitionnisme d'un cou phallique, premier phénomène du thème de la tête phallique, avant les harpes crâniennes des années 1930 qui figureront avec force sa terreur de l'acte sexuel et de la pénétration.
Dalí initie ainsi l'exhibition narcissique de son génie. Par autosuggestion, superstition ou simplement bravade, le délire dalinien opère volontiers par emprunt d'identité ; lorsqu'il sera au faîte de sa célébrité, Salvador Dalí empruntera de multiples personnalités, et en particulier celle du peintre espagnol Velázquez dont la ressemblance se construira avec sa célèbre moustache.
LucaMenes- FONDATORE
Dalì a Parigi, Milano, everywhere!
Mostra che si preannuncia un grande evento al Beaubourg, a Parigi. E a Milano si possono vedere in questi giorni parecchi lavori di grafica (Pantagruel, Tauromachia, etc.) e sculture - grandi e piccole - in Corso Italia, in una chiesa sconsacrata.
So che in una galleria ci sono anche i lavori "Les diners de Gala" e - last but not least - ho sentito che ci sarà qualche pezzo (ma dettagli non ne ho) alla Triennale, a breve.
So che in una galleria ci sono anche i lavori "Les diners de Gala" e - last but not least - ho sentito che ci sarà qualche pezzo (ma dettagli non ne ho) alla Triennale, a breve.
daniela locatelli- Novizio
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
Al Centre George Pompidou di Parigi è iniziata da qualche giorno la grande retrospettiva dedicata al nostro amato Maestro Dalí, di seguito alcune immagini e notizie trovate in giro per il web:
Facciata del Museo con il cartellone che segnala la mostra in corso:
Alcune immagini delle Opere esposte:
Facciata del Museo con il cartellone che segnala la mostra in corso:
Alcune immagini delle Opere esposte:
LucaMenes- FONDATORE
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
In attesa che qualche forumista torni dall'esposizione e ci racconti la sua esperienza e qualche notizia in più vi segnalo anche le pubblicazioni riguardanti l'evento:
Dalí. Exhibition catalogue
Format : 23,5 x 28
Illustrations : 450 ill. couleurs
Language : French
Number of Pages : 384
Binding : Hardback
49,90 €
The journals of the Musée national d'art moderne n°121 - Special Issue Dalí
Format : 19 x 26 cm
Illustrations : 80 ill. n/b
Language : French
Number of Pages : 120
Binding : Paper-Backed
23,00 €
Per l'acquisto e altre pubblicazioni: http://boutique.centrepompidou.fr/lang-en/44-dali
Chi ordinerà i cataloghi da casa e ci vuole dare un parere saremo lieti di leggerli....
Dalí. Exhibition catalogue
Format : 23,5 x 28
Illustrations : 450 ill. couleurs
Language : French
Number of Pages : 384
Binding : Hardback
49,90 €
The journals of the Musée national d'art moderne n°121 - Special Issue Dalí
Format : 19 x 26 cm
Illustrations : 80 ill. n/b
Language : French
Number of Pages : 120
Binding : Paper-Backed
23,00 €
Per l'acquisto e altre pubblicazioni: http://boutique.centrepompidou.fr/lang-en/44-dali
Chi ordinerà i cataloghi da casa e ci vuole dare un parere saremo lieti di leggerli....
LucaMenes- FONDATORE
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
Un motivo in più per andare a Parigi il prossimo anno...Dalì vi ritorna dopo 33 anni con una grande retrospettiva (200 opere tra cui La Persistenza della memoria, la Venere di milo con cassetti e la riproduzione della sala Mae West, forse un'installazione simile a quella che si trova a Figueres?).
per l'occasione è disponibile anche un'applicazione su itunes https://itunes.apple.com/fr/app/dali/id575669187?mt=8
[dailymotion]
Dali, du 21 novembre 2012 au 25 mars 2013 di centrepompidou[/dailymotion]
per l'occasione è disponibile anche un'applicazione su itunes https://itunes.apple.com/fr/app/dali/id575669187?mt=8
[dailymotion]
Dali, du 21 novembre 2012 au 25 mars 2013 di centrepompidou[/dailymotion]
Miss Stefania- Affezionato
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
Grazie all'amico Carlo che mi ha segnalato un link inserisco i titoli delle Opere esposte al Pompidou:
P.S. Per comodità ho inserito gli oli su tela e altre opere importanti, saltando disegni, acquarelli, documenti etc.
La lista completa delle opere e tante altre info le trovate qui: http://www.centrepompidou.fr/es/content/download/780/5572/version/16/file/20121203_dali_dp_en.pdf
Grazie a Carlo per il link!
WORKS EXHIBITED
Autoportrait, vers 1921
Huile sur toile - 36,8 x 41,9 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Autoportrait au cou raphaélesque, vers 1921
Huile sur toile - 40,5 x 53 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Cadaqués vu depuis la tour de les Creus, vers 1923
Huile sur toile - 98 x 100 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Pierrot et guitare, vers 1923
Huile et collage sur carton - 54,5 x 52,3 cm
Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid
Autoportrait cubiste, 1923
Huile et collage sur carton et bois - 104 x 75 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Autoportrait avec L’Humanité, 1923
Technique mixte sur carton - 105 x 75 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Pierrot jouant de la guitare (Peinture cubiste), 1925
[Pierrot tocant la guitarra (Pintura cubista)]
Huile sur toile - 198 x 149 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Portrait de ma soeur, 1925
[Retrat de la meva germana]
Huile sur toile - 99 x 99 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Portrait de mon père, 1925
[Retrat del meu pare]
Huile sur toile - 104,5 x 104,5 cm
Museu Nacional d’Art de Catalunya, Barcelone
Composition aux trois figures. « Académie néocubiste »,
1926
[Composició amb tres figures. « Acadèmia neocubista »]
Huile sur toile - 190 x 200 cm
Museo de Montserrat, Montserrat
Départ. « Hommage aux actualités Fox », 1926
[Depart. « Homenatge al Noticiari Fox »]
Huile sur bois - 43 x 31,50 cm
Collection particulière
Étude pour Le miel est plus doux que le sang, 1926
[Étude pour Le miel est plus douce que la sang [sic]]
Huile sur bois - 37,8 x 46,2 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Falaise, 1926
[Penya-segats]
Huile sur bois d’olivier - 27 x 41 cm
Collection particulière
Nature morte au clair de lune, 1926
Huile sur toile - 199 x 150 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Tête, 1926
[Cap]
Huile sur toile - 100 x 100 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Les Efforts stériles. Petites cendres, 1927-1928
[Los esfuerzos estériles ; également connu sous le titre
Cenicitas]
Huile sur contreplaqué - 64 x 48 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Baigneuses, vers 1928
Huile sur panneau, collage - 52 x 71,7 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Oiseau... Poisson, vers 1928
Huile sur panneau avec collage, sable, graviers
61 x 49,5 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
L’Âne pourri, 1928
Huile, sable, gravier sur bois - 61 x 50 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris,
Dation en 1999
Chair de poule inaugurale, 1928
Huile sur toile - 76 x 63,2 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Pêcheurs au soleil, 1928
Huile et corde sur toile - 100 x 100 cm
Collection particulière
Plage anthropomorphique [état actuel], 1928
Écorce peinte, bois et éponge - 48,3 x 28 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
La Vache spectrale, 1928
Huile sur contreplaqué - 50 x 64,5 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris,
Achat de l’État, 1974. Attribution, 1974
Le Grand Masturbateur, 1929
[Visage du Grand Masturbateur]
Huile sur toile - 110 x 150 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
La Mémoire de la femme-enfant. Monument impérial
à la femme-enfant, 1929
Huile et collage sur toile - 140 x 81 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Parfois je crache par plaisir sur le portrait de ma mère,
1929
Encre sur toile collée sur carton - 68,3 x 50,2 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
Achat, 1989
Les Premiers Jours du printemps, 1929
Huile et collage sur panneau - 50 x 65 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
L’Homme invisible, 1929-1932
Huile sur toile - 140 x 81 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Dormeuse, cheval, lion invisibles, 1930
Huile sur toile - 50,2 x 65,2 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
Don de l’Association Bourdon, 1993
Dormeuse, cheval, lion invisibles, 1930
Huile sur toile - 52 x 60 cm
Collection particulière
Guillaume Tell, 1930
Huile et collage sur toile - 113 x 87 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
Achat avec l’aide du Fonds du patrimoine, 2002
Les Roses ensanglantées, 1930
Huile sur toile - 61 x 50 cm
Collection Novagalicia Banco, La Corogne
La Persistance de la mémoire, 1931
Huile sur toile - 24,1 x 33 cm
The Museum of Modern Art, New York. Don anonyme,
1934
Fantaisies diurnes, 1931
Huile sur panneau - 81,30 x 100 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Hallucination partielle. Six images de Lénine sur un piano,
1931
Huile et vernis sur toile - 114 x 146 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris,
Achat de l’État à l’artiste et attribution, 1938
La Vieillesse de Guillaume Tell, 1931
Huile sur toile - 98 x 140 cm
Collection particulière
L’Angélus, vers 1932
Huile sur bois - 16 x 21,70 cm
Collection Natalie et Léon Seroussi, Meudon
Architecture surréaliste, vers 1932
Huile sur bois - 14,1 x 18,1 cm
Kunstmuseum Bern, Berne. Legs Georges F. Keller, 1981
La Harpe invisible, fine et moyenne, vers 1932
Huile sur toile - 21 x 16 cm
Collection particulière
OEufs sur le plat (sans le plat), 1932
Huile sur toile - 60 x 41,9 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Pain catalan ou Pain anthropomorphe, 1932
Huile sur toile - 24 x 33 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Phosphène de Laporte, vers 1932
Huile sur toile - 108 x 78 cm
Collection particulière
Symbole agnostique, 1932
Huile sur toile - 54 x 65,2 cm
Philadelphia Museum of Art, Philadelphie. Collection
Louise et Walter Arensberg, 1950
Le Vrai Tableau de L’Île des morts d’Arnold Böcklin
à l’heure de l’Angélus, 1932
Huile sur toile - 77,5 x 64,5 cm
Von der Heydt-Museum Wuppertal
Objet surréaliste à fonctionnement symbolique.
Le soulier de Gala, 1932 / 1973
Assemblage : chaussure en cuir, bois, fil, papier
et objets divers
Édition Galerie du Dragon 1973, n° 4 / 8
49 x 28 x 9 cm
The Mayor Gallery, Londres
Bureaucrate moyen atmosphérocéphale, dans l’attitude
de traire du lait d’une harpe crânienne, vers 1933
Huile sur toile - 22,2 x 16,5 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Méditation sur la harpe, vers 1933
Huile sur toile - 66,7 x 47 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Angélus architectonique de Millet, 1933
Huile sur toile - 73 x 60 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Buste de femme rétrospectif, 1933 / 1976
Bronze peint et assemblage d’objets variés
Édition Galerie du Dragon, Paris, en 1976, n° 1/8
70 x 54 x 35 cm
Collection Enrique Sabater
Charrette fantôme, 1933
Huile sur bois - 19 x 24,1 cm
Collection particulière
Le Devenir géologique, 1933
Huile sur bois - 21 x 16 cm
Collection particulière
L’Enfant-Sauterelle, 1933
Encre et crayon sur papier - 37,5 x 34 cm
Collection Natalie et Léon Seroussi, Meudon
Le Phénomène de l’extase, 1933
Éléments photomécaniques, photographies,
découpées et collées sur carton, photomontage
27 x 18,50 cm
Collection particulière
Avec la collaboration de Man Ray
Portrait de Joella Lloyd, vers 1933-1934
Huile et peinture à l’eau sur plâtre
40,5 x 17,5 x 18,2 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Affiche surréaliste, vers 1934
Huile sur carton avec clé - 68,6 x 40 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Harpe invisible, vers 1933
Huile sur panneau - 35 x 27 cm
Collection particulière
Image médiumnique-paranoïaque, vers 1934
[Imatge mediumnique-paranoïaque]
Huile sur bois - 19 x 22,8 cm
Collection particulière
Métamorphose végétale, vers 1934
Huile sur panneau - 41 x 32,5 cm
Collection particulière
Ossification matinale du cyprès, vers 1934
Huile sur toile - 82 x 66 cm
Collection particulière
Spectre, vers 1934
Huile sur toile - 70 x 60 cm
Collection particulière
Spectre de l’Angélus, vers 1934
Huile sur bois - 22 x 16 cm
Collection particulière
Le Spectre du sex-appeal, vers 1934
Huile sur bois - 17,9 x 13,9 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
L’Angélus de Gala, 1935
[également connu sous le titre Retrato de Gala]
Huile sur bois - 32,4 x 26,7 cm
The Museum of Modern Art, New York.
Don d’Abby Aldrich Rockefeller, 1937
Femme à tête de roses, 1935
Huile sur bois - 35 x 27 cm
Kunsthaus Zürich, Zurich
Cannibalisme de l’automne, vers 1936
[Autumnal Cannibalism]
Huile sur toile - 65,1 x 65,1 cm
Tate, Londres. Achat, 1975
Objet surréaliste, vers 1936
Assemblage : gants en chocolat et papier d’argent,
pochette d’allumettes, sujet érotique, presse-papier,
cône, pied en plâtre, pied en calcaire
11 x 82 x 31 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Table solaire, vers 1936
[Sun-table]
Huile sur panneau - 60 x 46 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
L’Automobile fossile du cap de Creus, 1936
[The Fossil Automobile of Cape Creus]
Huile sur panneau - 31 x 34,8 cm
Collection Nahmad, Suisse
Construction molle avec haricots bouillis (Prémonition
de la guerre civile), 1936
Huile sur toile - 99,9 x 100 cm
Philadelphia Museum of Art, Philadelphie.
Collection Louise et Walter Arensberg, 1950
Le Grand Paranoïaque, 1936
Huile sur toile - 62 x 62 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Paysage avec jeune fille sautant à la corde, 1936
[également connu sous le titre Muchacha saltando
a la cuerda]
Huile sur toile - 301,4 x 466,5 x 10,5 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Un couple aux têtes pleines de nuages, 1936
[A Couple with Their Heads Full of Clouds]
Huile sur panneaux de contreplaqué
92,5 x 69,5 cm & 82,5 x 62,5 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Ville aux tiroirs. Le cabinet anthropomorphique, 1936
[City of Drawers]
Huile sur bois - 25,4 x 44,2 cm
Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Düsseldorf
Vénus de Milo aux tiroirs, 1936 / 1964
Bronze, plâtre et objets
Édition Galerie du Dragon en 1964, tirage H. C.
98 x 32 x 34 cm
Collection particulière
Le Veston aphrodisiaque, 1936 / 1967
Veston de smoking, verres à liqueur contenant
du Pippermint
3 exemplaires : 1936 (disparu), 1964 et 1967
88 x 79 x 6 cm
The George Economou Collection, Amaroussion
Métamorphose de Narcisse, 1937
Huile sur toile - 51,1 x 78,1 cm
Tate, Londres. Achat, 1979
Portrait de Freud, 1937
Encre de Chine et gouache sur papier
35 x 25,5 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Impressions d’Afrique, vers 1938
Huile sur toile - 91 x 117,5 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Plage enchantée avec trois Grâces fluides, vers 1938
[Enchanted Beach with Three Fluid Graces]
Huile sur toile - 65 x 81 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Apparition d’un visage et d’un compotier sur une plage, 1938
[Apparition of Face and Fruit-Dish on a Beach]
Huile sur toile - 114,5 x 143,8 cm
Wadsworth Atheneum Museum of Art, Hartford (Conn.).
Collection Ella Gallup Sumner et Mary Catlin Sumner
L’Énigme sans fin, 1938
[Endless Enigma]
Huile sur toile - 114,5 x 146,5 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Espagne, 1938
[España]
Huile sur toile - 91,8 x 60,2 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Excentricité mélancolique, 1938
[Également connu sous les titres Lac de montagne
ou Scène de plage avec téléphone]
Huile sur toile - 73 x 92,1 cm
Tate, Londres. Achat, 1975
Téléphone aphrodisiaque, 1938
Plastique et métal
20,96 x 31,12 x 16,5 cm
Minneapolis Institute of Arts, Minneapolis
L’Énigme de Hitler, 1939
[The Enigma of Hitler]
Huile sur toile - 95 x 141 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Le Visage de la guerre, 1940
Huile sur toile - 64 x 79 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Buste de Voltaire, 1941
[Bust of Voltaire]
Huile sur toile - 46,5 x 55,5 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Projet pour Labyrinth, 1941
Huile sur toile - 64,5 x 79,5 cm
Collection Nahmad, Suisse
Les flammes, ils appellent, 1942
[Las llamas, llaman]
Huile sur toile - 146,5 x 124 cm
Collection Nahmad, Suisse
Projet pour Roméo et Juliette, 1942
Huile sur toile - 69,4 x 79,4 cm
Collection Pérez Simón, Mexico
Enfant géopolitique observant la naissance de l’homme
nouveau, 1943
[“Geopoliticus” Child Watching the Birth of the New Man]
Huile sur toile - 45,5 x 50 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Portrait de madame Isabelle Styler-Tas (Mélancolie), 1945
Huile sur toile - 65,6 x 86 cm
Staatliche Museen zu Berlin, Nationagalerie.
Dauerleghgabe des Landes Berlin
Projet pour Spellbound, vers 1945
[Proyecto para Recuerda]
Huile sur toile tendue - 88,8 x 113,1 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Uranium et idylle atomique mélancolique, 1945
[Uranium and Atomica Melancholica Idyll]
Huile sur toile - 66,5 x 86,5 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
La Tentation de saint Antoine, 1946
[The Temptation of St Anthony]
Huile sur toile - 89,5 x 119,5 cm
Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Bruxelles
Portrait de Picasso, 1947
[Portrait of Pablo Picasso in the Twenty-First Century]
Huile sur toile - 65,5 x 56 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Tête raphaélesque éclatée, 1951
Huile sur toile - 43,2 x 33,1 cm
Scottish National Gallery of Modern Art, Édimbourg.
Prêt de longue durée
Assumpta corpuscularia lapislazulina, 1952
Huile sur toile - 229,9 x 144,2 cm
Collection Masaveu, Oviedo
La Madone de Raphaël à la vitesse maximum, 1954
[Maximum Speed of Raphael’s Madonna]
Huile sur toile - 81 x 66 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
La Dentellière (d’après Vermeer), 1955
Huile sur toile - 27,3 x 22,3 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York.
Don anonyme, 1976
Étude paranoïaque critique de La Dentellière de Vermeer,
1955
Huile sur toile - 23 x 19 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York.
Don anonyme, 1976
Le Piano rouge ou l’Orchestre rouge, 1957
Huile sur toile - 84 x 115 cm
Collection Nahmad, Suisse
Pietà, 1958
Huile sur toile - 115 x 123 cm
Collection Pérez Simón, Mexico
Vélasquez peignant l’infante Marguerite avec les lumières
et les ombres de sa propre gloire, 1958
Huile sur toile - 153 x 92 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Las Meninas, 1960
Huile sur toile - 18,2 x 14,2 cm
Collection Nahmad, Suisse
Twist dans l’atelier de Vélasquez, 1962
Huile sur toile et cadre en bois comportant un éclairage
latéral alternatif - 129,5 x 180 cm
Collection Blas Gomez Diaz et Juan Zahonero Alonso,
Mataró – Barcelone
Portrait de mon frère mort, 1963
Huile sur toile - 175 x 175 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Hommage à Meissonier, 1965
Huile sur bois - 122 x 244 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
La Pêche au thon, 1966-1967
Huile sur toile et collage - 298 x 397 cm
Société Ricard, Marseille
Étude pour Le Torero hallucinogène, vers 1968-1970
Huile sur toile è 57,50 x 44,50 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Polyèdre, 1972
[Polyhedron]
Huile sur panneau, sphère en mousse, épingles
et photographies dans une boîte en Plexiglas
Collection Pérez Simón, Mexico
Holos ! Holos ! Velázquez ! Gabor !, 1972
Hologramme
Réplique 2012
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Dalí de dos peignant Gala de dos éternisée par six cornées
virtuelles provisoirement réfléchies dans six vrais miroirs,
vers 1972-1973
Huile sur toile stéréoscopique - 60 x 60 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Dalí de dos peignant Gala de dos éternisée par six cornées
virtuelles provisoirement réfléchies dans six vrais miroirs,
vers 1972-1973
Huile sur toile stéréoscopique - 60 x 60 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Le Fumeur. Pierrot et Colombine, ciel bleu, 1972-1973
Huile sur toile stéréoscopique - 60 x 60 cm
Collection Nahmad, Suisse
Le Fumeur. Pierrot et Colombine, ciel jaune, 1972-1973
Huile sur toile stéréoscopique - 60 x 60 cm
Collection Nahmad, Suisse
Transformation d’une empreinte de poulpe en dessin
de visage, vers 1973
Encre sur papier - 50,20 x 57,30 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Transformation d’une peinture anonyme du XVIe siècle
(attribuée à Matthias Gerung), 1974
Huile sur bois - 82 x 60 cm
Collection particulière
Dalí peignant Gala, 1973-1974
Hologramme
Collection Enrique Sabater
Étude pour Randomdot correlogram. La Toison d’or,
vers 1977
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Gouache sur
carton - 72,8 x 101,8 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Étude pour Randomdot correlogram. La Toison d’or,
vers 1977
OEuvre stéréoscopique en deux parties.
Gouache sur carton - 72,8 x 101,8 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
La main de Dalí retirant une Toison d’or en forme de nuage
pour montrer à Gala l’aurore toute nue très, très,
loin derrière le soleil. Hommage à Claude Lorrain, 1977
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Huile sur toile
60 x 60 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
La main de Dalí retirant une Toison d’or en forme de nuage
pour montrer à Gala l’aurore toute nue très, très,
loin derrière le soleil. Hommage à Claude Lorrain, 1977
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Huile sur toile
60 x 60 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Le Christ de Gala, 1978
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Huile sur toile
100 x 100 cm
Collection Pérez Simón, Mexico
Le Christ de Gala, 1978
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Huile sur toile
100 x 100 cm
Collection Pérez Simón, Mexico
Aurore, midi, couchant et crépuscule, 1979
Huile sur contreplaqué - 122 x 244 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Le Cheval joyeux, 1980
Huile sur contreplaqué - 122 x 244 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Derrière la fenêtre, à gauche, d’où sort une cuiller,
Vélasquez agonisant, 1982
Technique mixte sur toile - 75 x 59,5 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Queue d’aronde et violoncelles (Série des catastrophes),
1983
Huile sur toile - 73,2 x 92,2 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
P.S. Per comodità ho inserito gli oli su tela e altre opere importanti, saltando disegni, acquarelli, documenti etc.
La lista completa delle opere e tante altre info le trovate qui: http://www.centrepompidou.fr/es/content/download/780/5572/version/16/file/20121203_dali_dp_en.pdf
Grazie a Carlo per il link!
WORKS EXHIBITED
Autoportrait, vers 1921
Huile sur toile - 36,8 x 41,9 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Autoportrait au cou raphaélesque, vers 1921
Huile sur toile - 40,5 x 53 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Cadaqués vu depuis la tour de les Creus, vers 1923
Huile sur toile - 98 x 100 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Pierrot et guitare, vers 1923
Huile et collage sur carton - 54,5 x 52,3 cm
Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid
Autoportrait cubiste, 1923
Huile et collage sur carton et bois - 104 x 75 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Autoportrait avec L’Humanité, 1923
Technique mixte sur carton - 105 x 75 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Pierrot jouant de la guitare (Peinture cubiste), 1925
[Pierrot tocant la guitarra (Pintura cubista)]
Huile sur toile - 198 x 149 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Portrait de ma soeur, 1925
[Retrat de la meva germana]
Huile sur toile - 99 x 99 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Portrait de mon père, 1925
[Retrat del meu pare]
Huile sur toile - 104,5 x 104,5 cm
Museu Nacional d’Art de Catalunya, Barcelone
Composition aux trois figures. « Académie néocubiste »,
1926
[Composició amb tres figures. « Acadèmia neocubista »]
Huile sur toile - 190 x 200 cm
Museo de Montserrat, Montserrat
Départ. « Hommage aux actualités Fox », 1926
[Depart. « Homenatge al Noticiari Fox »]
Huile sur bois - 43 x 31,50 cm
Collection particulière
Étude pour Le miel est plus doux que le sang, 1926
[Étude pour Le miel est plus douce que la sang [sic]]
Huile sur bois - 37,8 x 46,2 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Falaise, 1926
[Penya-segats]
Huile sur bois d’olivier - 27 x 41 cm
Collection particulière
Nature morte au clair de lune, 1926
Huile sur toile - 199 x 150 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Tête, 1926
[Cap]
Huile sur toile - 100 x 100 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Les Efforts stériles. Petites cendres, 1927-1928
[Los esfuerzos estériles ; également connu sous le titre
Cenicitas]
Huile sur contreplaqué - 64 x 48 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Baigneuses, vers 1928
Huile sur panneau, collage - 52 x 71,7 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Oiseau... Poisson, vers 1928
Huile sur panneau avec collage, sable, graviers
61 x 49,5 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
L’Âne pourri, 1928
Huile, sable, gravier sur bois - 61 x 50 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris,
Dation en 1999
Chair de poule inaugurale, 1928
Huile sur toile - 76 x 63,2 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Pêcheurs au soleil, 1928
Huile et corde sur toile - 100 x 100 cm
Collection particulière
Plage anthropomorphique [état actuel], 1928
Écorce peinte, bois et éponge - 48,3 x 28 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
La Vache spectrale, 1928
Huile sur contreplaqué - 50 x 64,5 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris,
Achat de l’État, 1974. Attribution, 1974
Le Grand Masturbateur, 1929
[Visage du Grand Masturbateur]
Huile sur toile - 110 x 150 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
La Mémoire de la femme-enfant. Monument impérial
à la femme-enfant, 1929
Huile et collage sur toile - 140 x 81 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Parfois je crache par plaisir sur le portrait de ma mère,
1929
Encre sur toile collée sur carton - 68,3 x 50,2 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
Achat, 1989
Les Premiers Jours du printemps, 1929
Huile et collage sur panneau - 50 x 65 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
L’Homme invisible, 1929-1932
Huile sur toile - 140 x 81 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Dormeuse, cheval, lion invisibles, 1930
Huile sur toile - 50,2 x 65,2 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
Don de l’Association Bourdon, 1993
Dormeuse, cheval, lion invisibles, 1930
Huile sur toile - 52 x 60 cm
Collection particulière
Guillaume Tell, 1930
Huile et collage sur toile - 113 x 87 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
Achat avec l’aide du Fonds du patrimoine, 2002
Les Roses ensanglantées, 1930
Huile sur toile - 61 x 50 cm
Collection Novagalicia Banco, La Corogne
La Persistance de la mémoire, 1931
Huile sur toile - 24,1 x 33 cm
The Museum of Modern Art, New York. Don anonyme,
1934
Fantaisies diurnes, 1931
Huile sur panneau - 81,30 x 100 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Hallucination partielle. Six images de Lénine sur un piano,
1931
Huile et vernis sur toile - 114 x 146 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris,
Achat de l’État à l’artiste et attribution, 1938
La Vieillesse de Guillaume Tell, 1931
Huile sur toile - 98 x 140 cm
Collection particulière
L’Angélus, vers 1932
Huile sur bois - 16 x 21,70 cm
Collection Natalie et Léon Seroussi, Meudon
Architecture surréaliste, vers 1932
Huile sur bois - 14,1 x 18,1 cm
Kunstmuseum Bern, Berne. Legs Georges F. Keller, 1981
La Harpe invisible, fine et moyenne, vers 1932
Huile sur toile - 21 x 16 cm
Collection particulière
OEufs sur le plat (sans le plat), 1932
Huile sur toile - 60 x 41,9 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Pain catalan ou Pain anthropomorphe, 1932
Huile sur toile - 24 x 33 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Phosphène de Laporte, vers 1932
Huile sur toile - 108 x 78 cm
Collection particulière
Symbole agnostique, 1932
Huile sur toile - 54 x 65,2 cm
Philadelphia Museum of Art, Philadelphie. Collection
Louise et Walter Arensberg, 1950
Le Vrai Tableau de L’Île des morts d’Arnold Böcklin
à l’heure de l’Angélus, 1932
Huile sur toile - 77,5 x 64,5 cm
Von der Heydt-Museum Wuppertal
Objet surréaliste à fonctionnement symbolique.
Le soulier de Gala, 1932 / 1973
Assemblage : chaussure en cuir, bois, fil, papier
et objets divers
Édition Galerie du Dragon 1973, n° 4 / 8
49 x 28 x 9 cm
The Mayor Gallery, Londres
Bureaucrate moyen atmosphérocéphale, dans l’attitude
de traire du lait d’une harpe crânienne, vers 1933
Huile sur toile - 22,2 x 16,5 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Méditation sur la harpe, vers 1933
Huile sur toile - 66,7 x 47 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Angélus architectonique de Millet, 1933
Huile sur toile - 73 x 60 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Buste de femme rétrospectif, 1933 / 1976
Bronze peint et assemblage d’objets variés
Édition Galerie du Dragon, Paris, en 1976, n° 1/8
70 x 54 x 35 cm
Collection Enrique Sabater
Charrette fantôme, 1933
Huile sur bois - 19 x 24,1 cm
Collection particulière
Le Devenir géologique, 1933
Huile sur bois - 21 x 16 cm
Collection particulière
L’Enfant-Sauterelle, 1933
Encre et crayon sur papier - 37,5 x 34 cm
Collection Natalie et Léon Seroussi, Meudon
Le Phénomène de l’extase, 1933
Éléments photomécaniques, photographies,
découpées et collées sur carton, photomontage
27 x 18,50 cm
Collection particulière
Avec la collaboration de Man Ray
Portrait de Joella Lloyd, vers 1933-1934
Huile et peinture à l’eau sur plâtre
40,5 x 17,5 x 18,2 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Affiche surréaliste, vers 1934
Huile sur carton avec clé - 68,6 x 40 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Harpe invisible, vers 1933
Huile sur panneau - 35 x 27 cm
Collection particulière
Image médiumnique-paranoïaque, vers 1934
[Imatge mediumnique-paranoïaque]
Huile sur bois - 19 x 22,8 cm
Collection particulière
Métamorphose végétale, vers 1934
Huile sur panneau - 41 x 32,5 cm
Collection particulière
Ossification matinale du cyprès, vers 1934
Huile sur toile - 82 x 66 cm
Collection particulière
Spectre, vers 1934
Huile sur toile - 70 x 60 cm
Collection particulière
Spectre de l’Angélus, vers 1934
Huile sur bois - 22 x 16 cm
Collection particulière
Le Spectre du sex-appeal, vers 1934
Huile sur bois - 17,9 x 13,9 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
L’Angélus de Gala, 1935
[également connu sous le titre Retrato de Gala]
Huile sur bois - 32,4 x 26,7 cm
The Museum of Modern Art, New York.
Don d’Abby Aldrich Rockefeller, 1937
Femme à tête de roses, 1935
Huile sur bois - 35 x 27 cm
Kunsthaus Zürich, Zurich
Cannibalisme de l’automne, vers 1936
[Autumnal Cannibalism]
Huile sur toile - 65,1 x 65,1 cm
Tate, Londres. Achat, 1975
Objet surréaliste, vers 1936
Assemblage : gants en chocolat et papier d’argent,
pochette d’allumettes, sujet érotique, presse-papier,
cône, pied en plâtre, pied en calcaire
11 x 82 x 31 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Table solaire, vers 1936
[Sun-table]
Huile sur panneau - 60 x 46 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
L’Automobile fossile du cap de Creus, 1936
[The Fossil Automobile of Cape Creus]
Huile sur panneau - 31 x 34,8 cm
Collection Nahmad, Suisse
Construction molle avec haricots bouillis (Prémonition
de la guerre civile), 1936
Huile sur toile - 99,9 x 100 cm
Philadelphia Museum of Art, Philadelphie.
Collection Louise et Walter Arensberg, 1950
Le Grand Paranoïaque, 1936
Huile sur toile - 62 x 62 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Paysage avec jeune fille sautant à la corde, 1936
[également connu sous le titre Muchacha saltando
a la cuerda]
Huile sur toile - 301,4 x 466,5 x 10,5 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Un couple aux têtes pleines de nuages, 1936
[A Couple with Their Heads Full of Clouds]
Huile sur panneaux de contreplaqué
92,5 x 69,5 cm & 82,5 x 62,5 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Ville aux tiroirs. Le cabinet anthropomorphique, 1936
[City of Drawers]
Huile sur bois - 25,4 x 44,2 cm
Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Düsseldorf
Vénus de Milo aux tiroirs, 1936 / 1964
Bronze, plâtre et objets
Édition Galerie du Dragon en 1964, tirage H. C.
98 x 32 x 34 cm
Collection particulière
Le Veston aphrodisiaque, 1936 / 1967
Veston de smoking, verres à liqueur contenant
du Pippermint
3 exemplaires : 1936 (disparu), 1964 et 1967
88 x 79 x 6 cm
The George Economou Collection, Amaroussion
Métamorphose de Narcisse, 1937
Huile sur toile - 51,1 x 78,1 cm
Tate, Londres. Achat, 1979
Portrait de Freud, 1937
Encre de Chine et gouache sur papier
35 x 25,5 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Impressions d’Afrique, vers 1938
Huile sur toile - 91 x 117,5 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Plage enchantée avec trois Grâces fluides, vers 1938
[Enchanted Beach with Three Fluid Graces]
Huile sur toile - 65 x 81 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Apparition d’un visage et d’un compotier sur une plage, 1938
[Apparition of Face and Fruit-Dish on a Beach]
Huile sur toile - 114,5 x 143,8 cm
Wadsworth Atheneum Museum of Art, Hartford (Conn.).
Collection Ella Gallup Sumner et Mary Catlin Sumner
L’Énigme sans fin, 1938
[Endless Enigma]
Huile sur toile - 114,5 x 146,5 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Espagne, 1938
[España]
Huile sur toile - 91,8 x 60,2 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Excentricité mélancolique, 1938
[Également connu sous les titres Lac de montagne
ou Scène de plage avec téléphone]
Huile sur toile - 73 x 92,1 cm
Tate, Londres. Achat, 1975
Téléphone aphrodisiaque, 1938
Plastique et métal
20,96 x 31,12 x 16,5 cm
Minneapolis Institute of Arts, Minneapolis
L’Énigme de Hitler, 1939
[The Enigma of Hitler]
Huile sur toile - 95 x 141 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Le Visage de la guerre, 1940
Huile sur toile - 64 x 79 cm
Boijmans Van Beuningen, Rotterdam
Buste de Voltaire, 1941
[Bust of Voltaire]
Huile sur toile - 46,5 x 55,5 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Projet pour Labyrinth, 1941
Huile sur toile - 64,5 x 79,5 cm
Collection Nahmad, Suisse
Les flammes, ils appellent, 1942
[Las llamas, llaman]
Huile sur toile - 146,5 x 124 cm
Collection Nahmad, Suisse
Projet pour Roméo et Juliette, 1942
Huile sur toile - 69,4 x 79,4 cm
Collection Pérez Simón, Mexico
Enfant géopolitique observant la naissance de l’homme
nouveau, 1943
[“Geopoliticus” Child Watching the Birth of the New Man]
Huile sur toile - 45,5 x 50 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Portrait de madame Isabelle Styler-Tas (Mélancolie), 1945
Huile sur toile - 65,6 x 86 cm
Staatliche Museen zu Berlin, Nationagalerie.
Dauerleghgabe des Landes Berlin
Projet pour Spellbound, vers 1945
[Proyecto para Recuerda]
Huile sur toile tendue - 88,8 x 113,1 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Uranium et idylle atomique mélancolique, 1945
[Uranium and Atomica Melancholica Idyll]
Huile sur toile - 66,5 x 86,5 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
La Tentation de saint Antoine, 1946
[The Temptation of St Anthony]
Huile sur toile - 89,5 x 119,5 cm
Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Bruxelles
Portrait de Picasso, 1947
[Portrait of Pablo Picasso in the Twenty-First Century]
Huile sur toile - 65,5 x 56 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Tête raphaélesque éclatée, 1951
Huile sur toile - 43,2 x 33,1 cm
Scottish National Gallery of Modern Art, Édimbourg.
Prêt de longue durée
Assumpta corpuscularia lapislazulina, 1952
Huile sur toile - 229,9 x 144,2 cm
Collection Masaveu, Oviedo
La Madone de Raphaël à la vitesse maximum, 1954
[Maximum Speed of Raphael’s Madonna]
Huile sur toile - 81 x 66 cm
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
La Dentellière (d’après Vermeer), 1955
Huile sur toile - 27,3 x 22,3 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York.
Don anonyme, 1976
Étude paranoïaque critique de La Dentellière de Vermeer,
1955
Huile sur toile - 23 x 19 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York.
Don anonyme, 1976
Le Piano rouge ou l’Orchestre rouge, 1957
Huile sur toile - 84 x 115 cm
Collection Nahmad, Suisse
Pietà, 1958
Huile sur toile - 115 x 123 cm
Collection Pérez Simón, Mexico
Vélasquez peignant l’infante Marguerite avec les lumières
et les ombres de sa propre gloire, 1958
Huile sur toile - 153 x 92 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Las Meninas, 1960
Huile sur toile - 18,2 x 14,2 cm
Collection Nahmad, Suisse
Twist dans l’atelier de Vélasquez, 1962
Huile sur toile et cadre en bois comportant un éclairage
latéral alternatif - 129,5 x 180 cm
Collection Blas Gomez Diaz et Juan Zahonero Alonso,
Mataró – Barcelone
Portrait de mon frère mort, 1963
Huile sur toile - 175 x 175 cm
Salvador Dalí Museum, Saint Petersburg (Fla.)
Hommage à Meissonier, 1965
Huile sur bois - 122 x 244 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
La Pêche au thon, 1966-1967
Huile sur toile et collage - 298 x 397 cm
Société Ricard, Marseille
Étude pour Le Torero hallucinogène, vers 1968-1970
Huile sur toile è 57,50 x 44,50 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Polyèdre, 1972
[Polyhedron]
Huile sur panneau, sphère en mousse, épingles
et photographies dans une boîte en Plexiglas
Collection Pérez Simón, Mexico
Holos ! Holos ! Velázquez ! Gabor !, 1972
Hologramme
Réplique 2012
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Dalí de dos peignant Gala de dos éternisée par six cornées
virtuelles provisoirement réfléchies dans six vrais miroirs,
vers 1972-1973
Huile sur toile stéréoscopique - 60 x 60 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Dalí de dos peignant Gala de dos éternisée par six cornées
virtuelles provisoirement réfléchies dans six vrais miroirs,
vers 1972-1973
Huile sur toile stéréoscopique - 60 x 60 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Le Fumeur. Pierrot et Colombine, ciel bleu, 1972-1973
Huile sur toile stéréoscopique - 60 x 60 cm
Collection Nahmad, Suisse
Le Fumeur. Pierrot et Colombine, ciel jaune, 1972-1973
Huile sur toile stéréoscopique - 60 x 60 cm
Collection Nahmad, Suisse
Transformation d’une empreinte de poulpe en dessin
de visage, vers 1973
Encre sur papier - 50,20 x 57,30 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Transformation d’une peinture anonyme du XVIe siècle
(attribuée à Matthias Gerung), 1974
Huile sur bois - 82 x 60 cm
Collection particulière
Dalí peignant Gala, 1973-1974
Hologramme
Collection Enrique Sabater
Étude pour Randomdot correlogram. La Toison d’or,
vers 1977
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Gouache sur
carton - 72,8 x 101,8 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Étude pour Randomdot correlogram. La Toison d’or,
vers 1977
OEuvre stéréoscopique en deux parties.
Gouache sur carton - 72,8 x 101,8 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
La main de Dalí retirant une Toison d’or en forme de nuage
pour montrer à Gala l’aurore toute nue très, très,
loin derrière le soleil. Hommage à Claude Lorrain, 1977
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Huile sur toile
60 x 60 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
La main de Dalí retirant une Toison d’or en forme de nuage
pour montrer à Gala l’aurore toute nue très, très,
loin derrière le soleil. Hommage à Claude Lorrain, 1977
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Huile sur toile
60 x 60 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Le Christ de Gala, 1978
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Huile sur toile
100 x 100 cm
Collection Pérez Simón, Mexico
Le Christ de Gala, 1978
OEuvre stéréoscopique en deux parties. Huile sur toile
100 x 100 cm
Collection Pérez Simón, Mexico
Aurore, midi, couchant et crépuscule, 1979
Huile sur contreplaqué - 122 x 244 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Le Cheval joyeux, 1980
Huile sur contreplaqué - 122 x 244 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Derrière la fenêtre, à gauche, d’où sort une cuiller,
Vélasquez agonisant, 1982
Technique mixte sur toile - 75 x 59,5 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
Queue d’aronde et violoncelles (Série des catastrophes),
1983
Huile sur toile - 73,2 x 92,2 cm
Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres
LucaMenes- FONDATORE
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
Di nulla figurati Luca, è sempre un piacere condividere con voi informazioni su DalíLucaMenes ha scritto:Grazie a Carlo per il link!
Molto divertente è invece condividerle con chi di Dalí conosce poco o niente… Quando l’altra sera ho trovato il link con l’elenco delle opere esposte, sono andato a dormire felicissimo e il giorno successivo mi sono svegliato di ottimo umore, arrivato in ufficio un mio collega mi chiede: Carlo ma cos’è successo? Oggi ti vedo particolarmente sorridente.
E io: ieri sera ho scoperto che al Pompidou c’è anche “burocrate medio atmosferocefalo nell’atteggiamento di mungere un’arpa cranica”!!!
Mi ha guardato come se avessi detto “ieri sera sono stato rapito dagli alieni”!!!
Carlo- Affezionato
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
Carlo ha scritto:E io: ieri sera ho scoperto che al Pompidou c’è anche “burocrate medio atmosferocefalo nell’atteggiamento di mungere un’arpa cranica”!!!
Mi ha guardato come se avessi detto “ieri sera sono stato rapito dagli alieni”!!!
GRANDISSIMO CARLO! Questo a testimonianza che a volte basta davvero poco per essere felici!
Io invece sarei andato a letto arrabbiato per il fatto che difficilmente potrò vedere la mostra e le opere interessanti sono davvero tante!! Fortuna che non c'è il Cristo di San Juan de la Cruz!
LucaMenes- FONDATORE
Re: Mostra DALI al Centre Pompidou di PARIGI da Novembre 2012
wow...mi sono emozionata a leggere la lista! io ci sto facendo davvero un pensierino per un weekend!
Grazie Carlo!
Grazie Carlo!
potris- Forumista Stellare
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